OLUVUKHRUUI2, it HNOVenDre. , Les duches de Mecklembourg viennent dentrer dans Passociation de douane allemande. ,Le Mecklembourg-Schwerin a-t-il fait des reserves pour la ville et le territoire de Wismar qui appartiennent å la Sudde? Les journaux allemands men soufflent mot. Il vaudrait pourtant la peine de sen expliquer. fais donnons dabord un exposå de la question, que la presse europtenne ignore sans doute completement. Nous le repåtons, la Suåde possåde encore un fragment du pays de Wenden, dans le Mecklembourg-Schwerin, cest-å-dire Ia ville Wismar, File de Poel et lo bailliage de loster, en tout 5 milles carrås Yo. Mais, en 19803, le roi Gustave IV, par une sorte dantichrse, a engagå ce territoire Pour 100 ans, moyennant une somme de 1,200,000 rdr Hamb. banko. Au bout de ce terme la Sutde pent recouvrer son gage, en remboursant Ja susdite somme, plus Pinteröt annnuel calcule åa 3 p. 4. Jusquwå present la situation partieulidre qui se trouve ainsi faite au ducht de Wismar a te respecte. TI a ea ses impöts, sa logislation spåciale; il na pas eu å contribuer aux charges gåntrales du pays, par exemple quant å Padministration de la justice, attendu qui! a son conseil, sa police et un certain pouvoir legislatif. A bien plus forte raison na til rien å faire avec les intöråts et amortissement de la dette publique. Cette situation particuliore west dailleurs que la stricte application de la convention conclue en 1803 et qui garantit å Ja ville et au duehå de Wismar tous leurs droits, privileges et libertös, förmå lesquels figurent nommement le droit e fixer les impöts et les taxes dovanicres. Il est vrai que, par une convention d; 19; Mars 1863, Wismar a acceptö le carif des douanes du Mecklembourg, 1 a18 il Va accepte librement, en connaissanz. de cause; cest Ja. une confirmation et non une alisnation de son droit. Or de quoi sagirait-il maintenant? De le) faire entrer de force et sans Ile consulter dans vu nouveau systeme de douane, celui de la confederation du nord. Ce serait inique et ajoutons que cela nous parait impossible. Xl y aurait JA violation manifeste de droits et de privileges fondås sur une convention internationale. Nous savons bien que ce ne serait pas la remitre fois quon se scrait montrå disposå a faire bon marche des droits respectifs du duche ,de Wismar et du royaume de Sucde. Au commencement de la dernicte guerre de la Prusse avec le Danemark il ctait grandement question, malgrå les stipulations formelles j de la conventiou de Malmö, de faire de Wismar un port de station et de ravitaillement. Cependant on ma pas extcute ce projet et jusquå preuve contraire il faut croire qvon gest arritö devant le droit. En outre. en 1866, lors de la constitution de Ja conföderation du nord, le duch6 de Wismar fut averti par le gouvernement mecklembourgeois ue sa position speciale par rapport å la Sughe serait modifice; mais ces ouvertures nont pas eu de suites. Maintenant est-il admissible que, malgrö. les protestations formelles du duche de Wismar, sans son consentement, sans avoir: entamå de negociations avec le gouvernemont sugdois et lvi avoir offert un justel: dedommagement, la ville de Wismar et son : territoire aient etö, sans autre forme dej! rocts, incorpores dans Vassociation douanicre : ederale. J Cest ce que nons nous refusons å croire, fnsqva plus ample inforniå, Il est clair que, dune part, le duchå de Wismar, si ses intörets et privilcges ne doivent ! pas tre trop bruta!ement sacrifies, ne demandera pas mieux que de sortir de Ia position equivoque ol il se trouve, et, dautre part, que la Suede ne ferait pas grandel: difficultö å abandonner, moyennant un då-! dommagement raisounable, ses droits sur ce! lambeau de Wenden qui ne savrait lui etrel. dune grande utilitö de nos jours. Mais enfin ces privileges et ces droits existent; eucore faut-il en tenir compte. Jusquå prösent les. journaux allemands ne paralssent pas sen etre preoccupts. Nous sommes persvade que le gouvernement federal a öetå plus scrupuleux; mais alors il a tenu ses ngociations bien secrbtes. En dehors de cette question peu de nouvelles å enrågistrer. Le roi vient de se rendre å Beckaskog, mais pour deux jours seulement! Avant son depart le nouveau ministre autrichien, le comte de Milinen, a tå admis å lui pråsenter ses lettres de crtance, Le ministre de France, M. Fournier, a quittå Stockholm aujourdhui måme, avec sa famille, pour aller passer en France un conge de quelques mois. M. de Bellonnet, secretaire e la legation, sera charge Vaffaires en Pabsence du ministre. Cest å peine, par la temperature si douce dont nous avons joui jusquå ce jour, si Ion peut dire que la saison dhiver est commencte. Les theåtres seuls et les concerts rappellent que nous sommes en novembre. ILopera na pas encore fait beaucoup parler de lui. On esperait y revoir cette charmante cantatrice qui est en måme temps une vraie tragedienne; nous avons nomme M:elle Hebbe, Elle vient en effet de donner å Stockholm un concert ou, comme ponr augmenter nos regrets, elle gest montråe plus accomplie que jamais, semblant.nous dire: Cest ainsi quen partant je vous fais mes adieux. Recrologie. 5. Exc. Stjerneld, ancien ministre detat au departement des affaires etrangeres, vient de mourir å låge de 77 ans. Il etait de haute origine, descendånt directement de Ja famille royale des Wasas. En effet le prince Gustave, fils dEric XIV, se maria dans son exil avec une demoiselle Brita Karth, dont il eut un filsj Lars Gustafsson, lequel pour chapper avx poursuites prit tour å tour les noms de Kartesky et de Eldh. Deux des fils de ce dernier furent anoblis, Pun sous Je nom de Eldstjerna, et Pautre sous Fanagramme de ce nom, Stjerneld. La premitre 8 ces races 6tait deja effacte du livre dor, 1a seconde vient de stteindre. Gustave Nils Algernon Adolphe Stjerneld etait nå å Stockholm le 12 juillet 1791. Apres des etudes3 universitaires quelque peu disper2åes, — å Brunsvick, å Kicl, ä Edinbourg, å Upsal, — il aborda en 1811 Ja cerrriere Ala TFA 1922R PP fåt nemme nne