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holm im Sommer 1866. Cet ouvrage de M Blanck a tå trös-remarqu6 ici. Il a tou le succds legitimement då å la haute im partialit6, å la science, å VFordre et å Ii såret de jugement dont Fauteur y a fai preuve. Ces jours-ci a eu lieu, en pråsence du ro et de la famille royale, la sance solennell de TAcademie dessciences. M. Loven prå sident de Facademie a lu un discours du intråt tout exceptionnel sur Adolphe Ret zius, en Ihonneur de qui tait frappå cett annte le jeton de måmoire, portant du c8t Veffigie du celebre savant, de Pautr deux erånes avec cette devise: ?nec sini esse muta?. Le ministre des Etats Unis å Stockholm. M. Campbell vient de partir avec sa fa mille pour IItalie, dod il retournera er Ameårique. Un homme, dont tous les littrateurs Etravgers un peu sårieux doivent connaftre le nom, un des principax diteurs de la Suede, M:r Adolphe Bonnier, vient de mourir dans un åge peu avanc6. On peut dire quwå certains gards Ila littrature francaise lui est redevable, tout au moins les crivains qui trouvent leur satisfaction la plus haute dans la propagande de leurs ides et qui mettent les interets de leur gloire au dessus de tous les autres. La mort vient aussi de nous enlever un vaillant et noble eoeur, un homme qui a combattu dans toutes les guerres de Yindependance, en Espagne ov ila connu Carrel; en Gröce on il etait å Missolonghi quand Byron y expira; en Pologne enfin .. Maisle major Myhrberg, Finlandais de naissance, vabordait pas volontiers le chapitre des conidences sur cette påriode, qui ma pas tå lit-on, la moins brillante de sa vie avenureuse. Myhrberg, devenu tout å fait Sudois t qui a meme occup une place dans le ;ouvernement de Iile S:t Barthelemy et un rade dans notre armåe, tait depuis longues innes tabli å Stockholm od on le voyait sheminer calme, modeste, timide, efface, ans talage de dåcorations, å peine un uban mince comme un filå sa boutonnidre, ans rien qui rappelåt autrement les souveirs de cette existence heroique, constamsent dvouge aux nobles causes. Nota. — La Revue de la semalne, redigee v frangais parait ordinairement tous les mardis. Pour les abonnements au journal PAftonblad e mieux est dexpådier les demandes au bureäu e poste Sudois d Hambourg.

2 april 1867, sida 3

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