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eagir ainsi å tourdie; elles relisent avec ung esprit moins pråvenu le fameux discoursn de mr de Geer; elles påsent surtout ces parokl les si remarquables qui ont dejå attire Vattention de la presse trangeåre: sE Une institutio Painsi de racines, ne saurait longtemps dug rer. Ceux-memes qui, dans ce fait, voient te un malheur, doivent dåsirer que le chan-m Dgement se fasse ?le champ libre sur ce qai doit per maintenant Prest peut-etre se rduire å la necessite de ?la traiter 4 une tpoque od la solution de Peette question, ?persuasion, rencontrerait de plus grandes Pdifficultes. 1 ?soyons pås encore arrivås aux limites de If Pee ?trop tard? qui, dans dautres pays pourIi Ptant, a tant de fois resonn dune manigre Pinattendue; ma töt.? Enfin ces måmes adversaires du projet, gentendant repåter dun cöt que le nou-in veau syståme amådnera le gouvernement des S paysans, de Fautre quil assurera la domi-g nation de la feodalit financiere, finissent le par se demander de bonne foi comment fera Ile fameux char classique de VEtat pourin tomber en meme temps å droite et å gaulä che, et sil ne p tåt tout simple quil nen roulåt sons pas que ce eroyons pouvoir gouvernement aura beaucoup damis de lad onzigme heure. ra, ou en dautr par lordre des nobles, — car plus que jas mais ladoption en paraft assure dans les b trois autres ordres —? Cest ce que nous ne d sar rings nous pe toutefois que des preåtent au gouvernement .pråsenter le budget au vote de la Diete ni quepo.r un an, au lieu de trois comme dhaiv bitude, cc qui semble augmenter singuli M rement les chanc pouvait avoir dejå.. En tenant la nouvelle pour vraie, — et nous ne eroyona pas qwillv . ait place au doute, — voici 1a doublelb se qui se pråsenterait: — ou le pro-f jet sera adopt, et le gouvernement convoquera la Diete dås Fanne prochaine, conypot formement au n sentation; — Ou Fordre questre, Dibte elose, convoquera immediatement une Didte extraordinaire å laquelle le dit projet rejet sera de nouveau pråsent. Ainsi on(o nchapperait pas å la question en PFajourIn nant. Cest, vous le voyez, une resolution b fort importante grand daccuser nettement Fattiiude du gvuvernement sur laquelle, les ennemis du profy jet cherchaient å es. Cest un ?suivez-moil? qui entrainera bien des indcis officiel que nou semaine, — vient de prendre des mesures dur essayer de ,soustraire notre pays å a pesie qui ravage les races bovincs, et ovines, Limpor moutons est prohibee jusquau 1:er avril prochain. Dapres des. bruits qui ont circult ces jours-ci A la Bourse, le Comptoir de la Dette publique aurait tout recemment conclu un emprunt de chemins ce fer, de 9 millions de thalers de Prusse, avec le consul gntral de ce pays Raphael Erlanger et quelaues autres banques Allemandes. L trouvent, dit-on, est quelque peu Fouverture de la Jes conditions Comme chroniqueur ececi ne nous rTegarde gutre: Excusez moi, Monsieur, je ne sais pasle grec.? Sturehof est plaisance sur le nistre de. France a sa residence dete. Samedi le roi, de la princeesse royale, a daign6 y recevom Thospitalite du Le comit6 qui stait constitu pour organiser å Copenhague une exposition danoise qui nedt fait que contrecarrer la grande exposition, seandinave de 1866, vient de ge dissondre, de r.nous que ri clat de cetie navoir t que prematurge, Tout. fait pråvoir que Fex : trås-brillante et attirera Vattention des grands speculateurs etindustriels de Ftranger. Linanguration du mnouveau mustel donnera å cette Un palais dun dans une posit musee des antiq Je muse des so des antiquites. sition des beaux arts pour les artistes modernes, les artistes scandinaves sentend. Malgre quon temps. Pendant que Paris gemissait et que vos chroniqueur: vain nne plume critoire cessec septembre, du plus beau mois det qui se puisse imaginer. Un temps etincelant, caressant, lastique, doux, modert, tgal, avec une ardeur rafraichie le jour, avec unel fraicheur attiedie -1a nuit. Un orage, qui malheureusementa caus bien des malheurs -en mer, est venu s6parer Vtå deTrarriöresaieon. Le . ciel est toujours magnilique, mais les nnits d pour laq elle le moment actuel serait trop g ) f Le gouvernement, — et cest le seulacte Ih no qui aetuellement manque 2 dans un temps qui laisse lv pour dåeliberer mårement ip ötre mis å la place. Ajourd une question si importante, t b b par les moyens de librelb t i f est possible que nous ne is je ne vois pas la raison ourrait pas arriver quil res(X ment daplomb, et möme que mieux. Nous ne penI v soit lå une illusion, et nous fr predire que le projet du lk Est-ce å dire quil passe-!b es termes quil sera admis!d rmettre daugurer. Disons sl rumeurs Pred officielles I d intention de nelfö es de r6ussite que le projet Ifc a y ouveau syståme de ,repiåle projet sera rejet par i et le gouvernement, cette g et qui a lavantage tråsje rpandre des dontes habi IR d et leur donnera du ceur. ti s ayons å signaler cette ls tation des bestiaux et des ma — om , repråsentant la maison es hommes dexperience dune part que cet.emprunt precipit å la veille de Ditte; dautre part que en sont assez onreuses. 4 re 0 RA rf) Ce BD un magnilique cbåteau de Mälar, od mr Fournier miaccompagnå de la reine et representant de la France. sorte que la nouvelle donne jen ne. ferait diversion å solennit, pourrait bien position de Stockholm sera I rd mm RR fete un caractere artistique. bon style italien et situl! ion admirable rÅunira le ues, le muse de peinture, uverains et enfin la galerie: On parle aussi dune expoen ait, il faut parler du s aux abois trempaient en au bec haletant dans leur hee, Stockholm a joui, en sont froides et Iautomne... Revåt de sa rousse fourrure Lepaule des e6teaux frileux.? Nota. — La Revnve de la semaine, rådigee en frangais parait Pour les abonns ordinairement tous les mardis. ements au journal FAftonblad le mieux est dexpedier les demandes au bureau de poste Sudois Les annonces Paris, chez M. Saulnier, N:o 10. Ad Hambourg. our VAftonblad sont reques å icherat påre et Comp., passage

3 oktober 1865, sida 3

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