jou disposge, pour quelque miserable c dovuse reclamation påcuniaire, å livrerle peti etats aux calamits de la guerre, mai qui,lu moment qwil stagit de souteni deva les peuples forts le droit des peuple faible de tenir sa propre parole et en I tenan de säuver son konneur, sembl oubli tout å coup, dans sa longanimit c dans råsignation aux måpris du monde quella des flottes et des armes. Le favernement sudois qui sait bien qu si, Come il nest que trop pigbable, 1 guerre jent å clater sur IEider, nou devons re6ment y prendre part, se met e; mesure oe faire face å toutes les tventua lits. Då il a su avec les fonds votes cet : effetar 1a Didte, å la onzitme heure runir toes les fournitures que peut exige une pronte mobilisation dune partie d notre arm, et son entråe en campagne. ?Inter ma silent Musae? dit-on souvent Cependanbes jours-ci IAcademie suådoisc a convoquitout le public, lettr å sa solen. nit annuel, Lacadm sndoise a Et fondåe en 1784 par Gustav III, sar le modåle de Taca demie frangse. Elle est composåe de 1 membres, etau fur et å mesure des va cances elle coisit proprio motu les membrer nouveaux, 88 altendre les visites embar rassåes et eharrassantes des postulants On sait que sc premier laurat fut Gustave II loi-meme,qui remporta le prix poul Peloge du gånal Thorstenson. Le 20 de cenois avait lieu dans la sall de Ila Bourse, äte sance eannuuelle de Iaca demie. Sur les18 membres, il ny en avai due six de prents, M. M. Börjesson e arlsson, le bam v. Beskow (le Villemair de la Sudde, mis un Villemain poöte), le comte de Mandsetröm, le baron de Geer e Mr Strandberg falis Qualis), le dernier lu et direeteur actuide Iaeademie. Le roi, la reine, la reine daairigre et le duc dOstrogothie assistaient, cette solennitå. Mr Strandberg ouvert la stance fr un discours mi-parti!e politique et de littrature. Aprås avoir dessiv6 å grands traits Ja situation de la sci6t actuelle, ses agitations, ses aspiratios confuses, aprås avoir eonstat le penchar qui entraise le peuple sugdois å vouloir auer un röle dans les Gvnements europåes et signale les dangers possibles de eet entinement, Iorateur passant å la pobsie a plor6 Vetat de decadenee od elle se (ouve, — en tres nom breuse compagnie avait-il pu ajouter, eest å dire avec toutes 1s posies Ctrangeres Cetait une preface la declaration quil ne serait pas decern de grand prix cette annge. — A defsut dtpigce couronnte, Mr de Manderström a Ju aelques pogtiques l gendes du Rhin, dn des membres de Tacacemie Mr Fahleratz. Puis le baron v. Beskow a donn lectur. dune remarquable gtude sur le comte Tssin, dont image fignre cette annåe surle jetons de pråsence. Une bien triste nouvllie nous arrive de Finlande; on craint pow les joura de Rune: berg qui, dans une pirtie de: chasse aux renards, a tå pris duneattaque dapopiexie. — Il y a quelques joug å peine que Iau teur des ?Recits de Vensegne Stål? — nous a donnå une uvre nouvele Les rois de Sa lamine?, tragdie en Cinqactes qui est une magnifique imitation et now oserons presque dire une continustion de Sophocle. Esptrone que la mort pargnera cette bis et lopgtemps encore le grand poöte scantinave.